Lors de son discours aux évêques brésiliens de la région Nordeste 2, le Pape a développé sa pensée sur la mission spécifique de chacun dans l’Eglise. En effet, « la relation entre sacerdoce commun et sacerdoce ministériel constitue actuellement l’un des points les plus délicats de l’essence et de la vie de l’Eglise » (Site de la Conférence Episcopale Brésilienne).
L’Eglise est structurée de manière organique comme Corps du Christ, et dans ce corps, les membres n’ont pas tous la même fonction, « c’est cela qui constitue la beauté et la vie du corps ». Ainsi, « Face à celle des laïcs, l'identité propre aux fidèles ordonnés relève de la différence essentielle entre sacerdoce ministériel et sacerdoce commun. Il faut donc éviter la sécularisation des prêtres et la cléricalisation des laïcs. Dans cette perspective, les laïcs doivent exprimer la vision anthropologique et la doctrine sociale de l'Eglise dans la vie publique, y compris en politique, tandis que les prêtres doivent y être étrangers. Leur mission est de favoriser l'unité et la communion des fidèles en étant une référence pour tous ».
Pour Benoît XVI, « la fonction sacerdotale est essentielle et irremplaçable pour l'annonce de la Parole et la célébration des sacrements, de l'Eucharistie avant tout. » Dans cette communion pour la Mission, le rôle de chacun, vécu selon son charisme propre, doit favoriser une émulation à la sainteté : « Dans la mesure où ils [les laïcs] sont conscients de leurs responsabilités propres au sein de l'Eglise, ils favorisent le rôle primordial du prêtre comme pasteur de la communauté, comme témoin de la l'authenticité de la foi et dispensateur des mystères du salut au nom du Christ. »
Cela rejoint une de ses pensées qui m’avait beaucoup marqué lors de sa rencontre avec les séminaristes aux JMJ de Cologne, en 2005 : « Servir la royauté de Dieu sur terre, est l’essence de notre sacerdoce ».
Enfin, le Pape a précisé qu’il « faut donc demander au Seigneur d'envoyer des ouvriers pour sa vigne, mais aussi pour que les prêtres manifestent la joie de la fidélité à leur identité et l'enthousiasme de leur mission ». Le manque de prêtres, a ajouté le Pape, « ne doit pas être considéré comme normal, et encore moins comme un caractère acquis à l'avenir ».
L’Eglise est structurée de manière organique comme Corps du Christ, et dans ce corps, les membres n’ont pas tous la même fonction, « c’est cela qui constitue la beauté et la vie du corps ». Ainsi, « Face à celle des laïcs, l'identité propre aux fidèles ordonnés relève de la différence essentielle entre sacerdoce ministériel et sacerdoce commun. Il faut donc éviter la sécularisation des prêtres et la cléricalisation des laïcs. Dans cette perspective, les laïcs doivent exprimer la vision anthropologique et la doctrine sociale de l'Eglise dans la vie publique, y compris en politique, tandis que les prêtres doivent y être étrangers. Leur mission est de favoriser l'unité et la communion des fidèles en étant une référence pour tous ».
Pour Benoît XVI, « la fonction sacerdotale est essentielle et irremplaçable pour l'annonce de la Parole et la célébration des sacrements, de l'Eucharistie avant tout. » Dans cette communion pour la Mission, le rôle de chacun, vécu selon son charisme propre, doit favoriser une émulation à la sainteté : « Dans la mesure où ils [les laïcs] sont conscients de leurs responsabilités propres au sein de l'Eglise, ils favorisent le rôle primordial du prêtre comme pasteur de la communauté, comme témoin de la l'authenticité de la foi et dispensateur des mystères du salut au nom du Christ. »
Cela rejoint une de ses pensées qui m’avait beaucoup marqué lors de sa rencontre avec les séminaristes aux JMJ de Cologne, en 2005 : « Servir la royauté de Dieu sur terre, est l’essence de notre sacerdoce ».
Enfin, le Pape a précisé qu’il « faut donc demander au Seigneur d'envoyer des ouvriers pour sa vigne, mais aussi pour que les prêtres manifestent la joie de la fidélité à leur identité et l'enthousiasme de leur mission ». Le manque de prêtres, a ajouté le Pape, « ne doit pas être considéré comme normal, et encore moins comme un caractère acquis à l'avenir ».
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Diacono Francisco Javier