Dans un premier temps, le Pape a mentionné son voyage au Brésil en 2007, où il avait rencontré tout l’épiscopat brésilien, dans la cathédrale de São Paulo. Puis, conscient des immenses distances des diocèses des évêques reçus en audience, il a fait part de son admiration devant le travail accompli tant par les évêques que par les prêtres.
Puis, il a mis en garde les évêques contre le sécularisme, qui gangrène une partie de l’Eglise européenne, et qui guette le Brésil. Ce danger, le Pape le perçoit dans les discours et dans les attitudes des pasteurs de l’Eglise européenne :
« Bien chers frères, au cours des décennies qui ont suivi le concile Vatican II, certains ont interprété l’ouverture au monde non pas comme une exigence de l’ardeur missionnaire du Cœur de Jésus mais comme une transition vers la sécularisation, voyant en elle des valeurs d’une grande profondeur chrétienne, comme l’égalité, la liberté et la solidarité, et en se montrant disposés à faire des concessions et à explorer des domaines de coopération.
On a donc assisté à des actions de la part de responsables de l’Église dans les débats éthiques qui voulaient répondre aux attentes de l’opinion publique, mais qui cessaient de parler de certaines vérités fondamentales de la foi, comme le péché, la grâce, la vie théologale et les fins dernières.
Inconsciemment, on est tombé dans une autosécularisation de nombreuses communautés de l’Église. Celles-ci, dans l’espoir de satisfaire ceux qui s’étaient éloignés, ont vus se distancer, frustrés et désabusés, ceux qui en faisaient déjà partie. Nos contemporains, quand ils nous rencontrent, veulent voir ce qu’ils ne voient nulle part ailleurs, c’est-à-dire la joie et l’espérance qui découlent du fait de demeurer avec Notre Seigneur ressuscité. »
Conscient que les jeunes générations ont soif de transcendance, le Pape a donc demandé à Dieu « des formateurs de séminaires qui soient de vrais hommes de Dieu, des prêtres totalement consacrés à la formation, qui donnent le témoignage du don de soi à l'Église, à travers le célibat et une vie austère, selon le modèle du Christ, le Bon Pasteur ».
Puis, il a mis en garde les évêques contre le sécularisme, qui gangrène une partie de l’Eglise européenne, et qui guette le Brésil. Ce danger, le Pape le perçoit dans les discours et dans les attitudes des pasteurs de l’Eglise européenne :
« Bien chers frères, au cours des décennies qui ont suivi le concile Vatican II, certains ont interprété l’ouverture au monde non pas comme une exigence de l’ardeur missionnaire du Cœur de Jésus mais comme une transition vers la sécularisation, voyant en elle des valeurs d’une grande profondeur chrétienne, comme l’égalité, la liberté et la solidarité, et en se montrant disposés à faire des concessions et à explorer des domaines de coopération.
On a donc assisté à des actions de la part de responsables de l’Église dans les débats éthiques qui voulaient répondre aux attentes de l’opinion publique, mais qui cessaient de parler de certaines vérités fondamentales de la foi, comme le péché, la grâce, la vie théologale et les fins dernières.
Inconsciemment, on est tombé dans une autosécularisation de nombreuses communautés de l’Église. Celles-ci, dans l’espoir de satisfaire ceux qui s’étaient éloignés, ont vus se distancer, frustrés et désabusés, ceux qui en faisaient déjà partie. Nos contemporains, quand ils nous rencontrent, veulent voir ce qu’ils ne voient nulle part ailleurs, c’est-à-dire la joie et l’espérance qui découlent du fait de demeurer avec Notre Seigneur ressuscité. »
Conscient que les jeunes générations ont soif de transcendance, le Pape a donc demandé à Dieu « des formateurs de séminaires qui soient de vrais hommes de Dieu, des prêtres totalement consacrés à la formation, qui donnent le témoignage du don de soi à l'Église, à travers le célibat et une vie austère, selon le modèle du Christ, le Bon Pasteur ».
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Diacono Francisco Javier