En cette année du sacerdoce, et à l'approche de la fin de l'année liturgique, je ne peux passer sous silence l'assassinat de cinq prêtres exerçant leur ministère au Brésil, depuis le début de l'année 2009.
Le 10 Novembre dernier c'est un prêtre brésilien de 48 ans, le Père Hidalberto Henrique Guimarães, qui a été assassiné dans la banlieue de la ville de Maceio, située sur le littoral atlantique, dans l'état de l'Alagoas.
Deux de ces prêtres assassinés étaient des missionnaires. L'un espagnol, le Père Ramiro Ludeño, âgé de 64 ans, a été tué dans sa voiture le 19 Mars à Recife, par un adolescent de 15 ans. L'autre est le Père italien Ruggero Ruvoletto, 52 ans, assassiné le 19 septembre à Manaus.
Les deux autres prêtres étaient les Pères Gisley Gomes Azevedo, 31 ans, assassiné par un groupe de jeunes dans la nuit du 15 juin dernier à Brazlândia, ville-satellite de Brasilia, et le Père Evaldo Martiol, 33 ans, du diocèse de Caçador dans l'état de Santa Caterina, assassiné le 26 Septembre dernier par deux jeunes âgés de 21 et 15 ans.
Les meurtriers sont en général de jeunes drogués, de milieux très pauvres, en recherche d'argent.
Ces prêtres rejoignent au ciel le Père Louis Jousseaume, assassiné le 26 octobre dernier dans son presbytère à Egletons, dans le diocèse de Tulle en France, où il était curé de la paroisse depuis 1981.
Me desculpe, Diácono Xavier, mas o senhor parece estar esquecendo que muitos padres morrem no Brasil por causa de VINGANÇA de seus AMANTES HOMOSSEXUAIS. Quem se envolve com jovens RAPAZES drogados são esses padres e o resultado não poderia ser outro.
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Excusez-mois, M.l'Abbé, mais beaucoup de prêtres au Brésil sont assassinés pour ses AMANTS HOMOSEXUELS. L'âge et le sexe de ces jeunes assassins n'est pas une coïncidence.
prions pour ces victimes innocentes au service de l'Eglise du Brésil.
RépondreSupprimerpermettez-moi, mais quelle signification donner au commentaire précédent à propos des "amants homosexuels" ?
Monsieur l'abbé,
RépondreSupprimerIntéressant votre blog. Les photos aussi. Elles permettent entre autres de voir comment un diacre français, supposé fidèle à l'Église interprête ses lois et règlements.
Prenons les photos de l'ordination et nous constatons que vous ne portez pas l'amict. Or IGMR 2002 nº119 précise: "Omnes qui albam induunt, cingulum adhibeant et amictu utentur, nisi ob ipsius albae formam non exigantur / Tous ceux qui revêtent l'aube emploient le cordon et utilisent l'amict, à moins que la forme même de l'aube ne l'exige pas."
Vous avez certainement appris en cours de liturgie que l'amict sert à recouvrir le vêtement de dessous c'est-à-dire le col de la soutane ou du clergyman.
Profitez de votre séjour brésilien pour perfectionner votre fidélité à l'Eglise.
Je sais qu'il y a des choses beuacoup plus importante mais on commence par là et.....
Sainte fête de la Médaille Miraculeuse.